Consultation. Santé : presque tout le monde se plaint

Sur les près de 1 000 réponses obtenues, nous avons constaté que seulement 16 % des répondants estimaient avoir un accès « normal » à la santé. L’accès était même soit très compliqué pour 40,9 % d’entre eux, voire impossible pour 13 %.
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Pourtant, seuls 17,7 % des répondants n’avaient pas de médecin traitant, ce qui reste énorme dans un pays qui a instauré le parcours de soin en 2007, avec obligation de passer par un médecin traitant pour être remboursé à 100 % de ses frais.
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Mais dans les détails des griefs, l’accès aux spécialistes est de plus en plus cité dans les difficultés. Certains, surtout en zone rurale, n’hésitant plus à parcourir plus de 100 km pour consulter un ophtalmologue, gynécologue ou cardiologue (43 % des répondants).
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Pire, 70,5 % des répondants à notre consultation avouent avoir déjà « renoncé à des soins » parce que c’était « trop compliqué », « sans espoir », ou que les « délais étaient trop longs ».
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La médecine libérale arrive en tête des difficultés évoquées par les consultés dans nos régions. L’hôpital n’est critiqué que rarement, et principalement en raison du temps d’attente pour être pris en charge dans les services d’urgences. Rarement en raison de la qualité des soins.
Pour donner sens à ces chiffres et comprendre comment le système de santé en est arrivé à être perçu comme éloigné, voire inatteignable par nos concitoyens, nous avons interrogé des médecins, libéraux ou hospitaliers, qui vivent, de leur côté, les mêmes difficultés, mais de leur point de vue.
Le Républicain Lorrain